La disproportion entre la demande de minute de silence à effectuer le lundi 30 septembre en hommage à Jacques Chirac et le silence assourdissant de l'Éducation nationale autour du décès de notre collègue Christine Renon est choquante : un simple tweet ministériel pour une victime des conditions de travail des enseignant.e.s et particulièrement des directrices et directeurs !