Alors que depuis 2012 de nombreuses réformes sont mises en œuvre, le ministère refuse tout changement dans l’organisation et la répartition horaire du travail des enseignants. Cela a été encore le cas en juin 2016, où la redéfinition de nos obligations de service aurait dû être l’occasion de mettre fin aux APC (activités pédagogiques complémentaires ), jugées inefficaces par une très grande partie des enseignant-es. Il y a urgence. Nous avons besoin de moyens et de temps.