Il faut réduire la taille des classes sans supprimer les « plus de maîtres que de classes ». Et il est indispensable de remettre à plat la réforme des rythmes, sans accentuer son caractère inégalitaire en laissant carte blanche aux collectivités. Nous demandons au contraire un cadrage national fort, avec des possibilités de dérogation sous la responsabilité des services de l’État, comme avant 2008. Le SNUipp-FSU a écrit à Jean-Michel Blanquer, nouveau ministre de l’Éducation nationale.